J’ai découvert Joël Dicker comme beaucoup je pense grâce à son roman L’affaire Harry Quebert. Ce livre était un véritable page turner . J’avais avalé l’histoire en seulement quelques jours et il en fut de même avec les Baltimore.
C’était avec une grande impatience que j’attendais le nouveau Joël Dicker : l’énigme de la chambre 622.
« Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier? »
J’espérais retrouver dans ce nouveau roman l’engouement que j’avais eu pour Quebert et les Baltimore malheureusement ce ne fut pas le cas.
Ce que j’ai beaucoup aimé c’est que l’on ne découvre l’identité de la victime que très tard dans le livre. Durant tout le roman Joël Dicker fait des aller retour entre le présent et le passé et maîtrise parfaitement l’exercice . J’ai beaucoup aimé l’hommage rendu à son ancien éditeur Bernard de Fallois . A travers ces moments du recits on apprend à mieux connaître l’histoire de Joël Dicker et j’ai trouvé cela vraiment très intéressant.
Comme à son habitude l’auteur nous balade tout au long du livre pour mieux nous surprendre à la fin . Et c’est la que j’ai été un peu déçu . Certaines révélations à la fin du roman sont vraiment surprenantes. J’ai trouvé l’idée relativement bien pensée même si en réfléchissant cela peut paraître un peu tiré par les cheveux et difficiles croire.
Et ma déception réside sur l’identité du meurtrier ou de la meurtrière (car je ne veux pas vous spoiler 😅) . J’ai trouvé également certaines longueurs dans le livre .
C’est un bon livre et j’étais ravie de retrouver la plume de Joël Dicker que j’aime beaucoup mais ce n’est pas un coup de cœur pour ma part.
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